Les travaux de la com’éco
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La coméco produit trois types de textes. Chacun peut contribuer en fonction de l’actualité, de son expertise et de ses disponibilités.

 

Comment produire ces textes ?

 

1/ Les positions sur l’actualité :
Objectifs : fournir au parti, ses élus, et ses militants, un éclairage « coméco » sur une actualité (comme le rapport Gallois). Cet éclairage peut ensuite alimenter un communiqué de presse dont la rédaction finale est de la responsabilité de la direction du parti.
Contrainte : réactivité extrême et peu de temps pour les débats internes.
Procédure : envoyer sur la liste débat un court texte d’analyse de 10 à 20 lignes MAXIMUM, courant l’ensemble du sujet. Ce texte peut être complété par une conclusion personnelle et militante, avec recommandation sur le positionnement du parti.

2/ Les expertises :
Objectif : fournir des éléments très précis sur des sujets entrant dans le périmètre de la coméco.
Contrainte : être compréhensible par toutes et tous, donc faire preuve de pédagogie et de sens de la synthèse.
Procédure : envoyer un document que l’on a rédigé en précisant précisément le sujet, en citant ses sources et en ne dépassant pas les 5 pages (hors annexes). On peut également envoyer une étude externe, en l’accompagnant d’une explication de son contexte et de son ou ses auteurs.

3/ Les positions thématiques :
Objectifs : compléter et enrichir notre programme commun, qu’il soit local, national et européen, pour aider au travail de nos élus et les alimenter en idées de projets de loi, et pour inspirer les supports de militantisme hors ou pendant les campagnes (tracts, programmes, discours, etc).
Contraintes : être compréhensible par toutes et tous, donc faire preuve de pédagogie et de sens de la synthèse.
S’inscrire dans le cadre idéologique défini et voté dans le programme « Vivre Mieux » (cela ne se limitant pas aux chapitres économiques) : https://eelv.fr/2012/06/05/projet-2012/
Procédure : envoyer un texte, d’environ 5 pages, contenant une présentation du contexte (ex : critique de la situation actuelle) et des propositions concrètes. Soumettre son texte à un processus d’amendement (via écolopad), et le faire valider lors d’une réunion dédiée. Chaque rédacteur/rédactrice est en charge de ce processus, avec l’aide du bureau de la commission.