A l’image du trait de côte dont l’océan grignote un mètre par an, les effets du changement climatique gagne du terrain.
Le retrait-gonflement des argiles a amené 8 000 communes à demander la reconnaissance de catastrophe naturelle, avec un coût de 2,9 Mrds€ pour les assurances.
72 000 hectares ont brûlé, soit la superficie des 10 plus grandes villes de France réunies.
La vagues de chaleur de 2022 a provoqué 2 816 décès.
Bonne nouvelle : des solutions existent. Elles ne se valent pas toutes. Certaines coûteront plus cher que de réparer des dégâts, d’autres devraient être déployées d’urgence.
Certaines décisions seront réversibles, comme le contenu de nos protocoles de crise. D’autres comme les normes de construction décideront de la résilience des infrastructures pour les 100 prochaines années.
Le rapport d‘I4CE nous aide à y voir plus clair dans les solutions qui existent, leur coût et les raisons qui doivent motiver nos décisions : dans le bâtiment, les infrastructures de transport et la production agricole végétale.